De gauche à droite et de haut en bas, il y avait dans l'ordre : Angela Merkel et Barak Obama, bien peu nombreux pour sauver le monde, Carl Decaluwé, bienfaiteur de la côte et des plates-bandes au cordeau. Devant le mausolée de Schengen Maggie De Block et Charles Michel se selfisent, tandis qu'Audrey Azoulay et François Hollande contemplent confiants l'horizon. Aux bulls, nous avons Bernard Cazeneuve et Jan Jambon, deux virtuoses de la pelleteuse humanitaire. Nadine Morano et Nicolas Sarkozy revisitent l'extrème droite ( à gauche pour nous ). Thierry Hellin et Agnès Limbos estiment que si l’argent ne fait pas l’bonheur, il permet (entre autres) d’aboutir les spectacles. Bernadette Chirac, toujours joyeuse, virevolte aux bras du tout nouveau Jean-François Copé. Bashar et Vladimir vont tuer le temps, pour changer. Pierre Gattaz, Myriam El Khomry et Emmanuel Macron vont de l’avant. Notre bon roi Philippe Un régne, son cousin et pape François Un swingue, bien seul lui aussi pour sauver le monde. Bye bye, Flower Pilgrim, please come again… Dans l'ombre, Dave Cameron reste en se débinant. Dans le cadre de Guillaume Istace, lui-même et au dessus, Nicolas Hulot et Christiane Taubira nous prouvent qu'il y a une vie hors du gouvernement. Dans l'ombre itou, Georges Bush et Bill Clinton (potentiel first lady) comme larrons en foire continuent le job. Hillary se propose comme première présidente, Thierry Hellin et Agnès s'accentuent grave dans les aigus, épargent les circonflexes, Didier Reynders nous présente la troisième madame Trump et autre potentielle first lady. Bart De Wever va montrer des dauphins (qu’il aime tant) à Joëlle Milquet. Carla Bruni-Sarkozy rêve d'ailleurs au bras d'Alain Juppé qui lui s’y voit déjà…, Recep Erdogan et Christine Lagarde aimeraient bien sauver un peu le monde mais ça fait beaucoup, ce que se dit aussi ce bon vieux Kim Jun Il qui n'en loupe pas une et ne cache pas son espoir que Manuel Valls devienne un jour meilleur, Valls qui refuse mordicus de descendre de son quatrequatre. Sauver le monde, est-ce bien le projet d'Al Baghdadi et de Donald Trump ?